Comme tous les vendredis, Marc, mon époux depuis dix ans, m’autorise à sortir en célibataire. Je suis accompagnée de Catie, ma meilleure copine.

Grace à elle, mon mari et moi, nous sommes mis au libertinage. Il n’est pas rare que je ramène un mec chez moi pour me baiser toute la nuit, ou que mon mari ramène une fille pour la niquer. Il nous arrive même de nous mélanger.

Ce soir, ma copine et moi, avons passé une nuit de folie.

La dernière fois, j’avais rencontré un jeune magrébin, beau comme un dieu, mais surtout, très performant. Ce salaud a du me faire jouir six ou sept fois.

-Alors, me demande Catie, contente ?

-Oh putain, ne m’en parle pas. Je suis tombée sur le mec de la dernière fois… ouah, qu’est-ce qu’il m’a mis ce salaud…

-Et qui est ce mâle extraterrestre qui ta baisée.

-Ben l’arabe du weekend dernier. J’espère que mon mari n’en saura rien. Il m’autorise à me faire baiser par qui j’ai envie, mais surtout pas par un arabe.

-Pourquoi, il est raciste, demande Catie

-Pas du tout, loin s’en faut, mais il dit que les arabes sont mieux montés que lui.

-Et alors ?

-Ben, il n’a pas tort. Quand j’ai la bite de Karim dans la chatte, ou dans le cul, je sens la différence. En plus, mon mari l’a comme élève au judo. Et chaque qu’il affronte mon mari, Karim le bat régulièrement.

« Un jour, il m’a bloqué au sol, me dit mon mari. Il a glissé une main sous mon kimono, et m’a attrapé par les couilles. Il m’a dit qu’un jour, il me sodomiserait »

-Et tu penses que ton jeune maghrébin fera ça ?Demande Catie

-Il l’a fait…

-A bon, racontes moi…

• Un jour, ou je reviens des courses, j’entends des plaintes, provenant de nôtre chambre. Je me demande ce que cela peut être. J’ouvre la porte, et là, devant moi, un spectacle hallucinant.

Mon mari, entièrement nu, à quatre pattes sur le lit, en train de se faire enculer en levrette par Karim. Pour bien le maitriser, le jeune arabe avait passé une main sous le ventre de mon mari, et le tenait par les couilles.

-Dis lui d’arrêter, supplie mon mari. Sa queue est trop grosse.

-Je sais mon chérie, je la prends dans le cul et la chatte, tous les vendredis.

-Mais il me fait mal, gémit-il.

-Tu sais, taille lui une pipe, c’est moins douloureux.

-Et puis quoi encore…aie…aie…aie…

-Elle t’a dit quoi, tu vas obéir à ta femme, tu vas me sucer.

Karim se retire, vient se placer devant mon mari. Docile, mon mari ouvre la bouche, et gobe son énorme queue. Au bout de quelques minutes, il avale tout le sperme de mon amant.

Depuis, Karim s’amuse avec mon mari. Il le met entièrement nu, le couche au sol, s’assied sur lui. Il lui fait la chatouille, tire sur ses mamelons. Mon mari n’en finit pas de rire. Pour le calmer, Karim passe un bras en arrière, et lui prend les couilles. Marc lance deux petits cris, puis se calme.

-Allez, il est seize heures, dit Karim. C’est l’heure de ton biberon, tu vas me tailler une pipe, et tout avaler…n’est-ce pas mon bébé.

Mon mari fait oui de la tête.

Je m’installe confortablement, et regarde mon mari sucer mon amant.

-Et de ne rien laisser, mon chéri, lui dis-je, de tout avaler.

Une fois, dans la piscine, je voyais mon mari, par ailleurs excellent nageur, cloué sur place. Ca m’intriguait un peu. Puis, en faisant du sous l’eau, je m’aperçu que Karim tenait mon mari par la queue. Ce qui explique, que Marc n’avançait pas. Pire, une fois, mon mari a traversé la piscine, empalé sur la bite de Karim.

Depuis quelques temps, Karim invite Leila, sa jeune sœur, de tous justes dix-huit ans à participer. Quelle vicieuse. Elle fait subir les sévices les plus pervers à mon époux. Le pauvre, il m’arrive de l’entendre hurler de douleur, quand elle le prend par les couilles. Un jour, elle lui a même donné une fessée.

Quant à moi, elle adore s’amuser avec ma petite chatte. Elle enfonce ses doigts, me branle, fait rouler mon clito entre ses doigts.